Faut-il s'inquiéter de la hausse de l'inflation et des taux d'intérêt ?
Les investisseurs craignent, avec des prix d'actifs soutenus par des taux toujours très bas, que les marchés soient vulnérables à un choc inflationniste. Dans cette étude, nous examinons de plus près les perspectives et testons notre hypothèse selon laquelle il est peu probable quenous entrions dans un nouveau régime d'inflation élevée.
Les anticipations d'inflation ont bondi : les anticipations d'inflation du marché se sont envolées, dépassant les niveaux d'avant la crise, avec des taux d'équilibre aux États-Unis sur 2, 5 et 10 ans maintenant tous confortablement au-dessus des 2 per cent. Une relance supplémentaire de la part de l'administration Biden alimente la reflation qui a renforcé le sentiment de marché et relevé les taux américains. Cela concerne principalement les États-Unis, étant donné le rôle dominant des taux américains sur les marchés mondiaux.
Mais le choc de la Covid-19 sur l'inflation devrait être temporaire. L'appréciation annuelle des prix du pétrole devrait culminer en mars 2021 tandis que les pressions sur les prix liées à la Covid dues aux chocs d'offre et aux goulots d'étranglement devraient également s'estomper plus tard dans l'année. Nous prévoyons que l'inflation PCE (Personal Consumer Expenditure Index) de base aux États-Unis culminera brièvement à 2,5 per cent au deuxième trimestre avant de redescendre sous l'objectif des 2 per cent de la Fed. La Fed devrait donc regarder par le prisme de ce pic temporaire et maintenir les taux en suspens. À plus long terme, les vents contraires structurels à l'inflation persistent. Les craintes que l'expansion du bilan de la Fed se répercute sur l'inflation ne sont pas étayées par les expériences passées, où la plupart des gains concernaient les prix des actifs plutôt que l'indice des prix à la consommation.
La courbe des taux s'est raidie alors que les taux bas restent ancrés à court terme. Cela est dû à l'annonce faite par la Fed selon laquelle des taux plus bas devraient perdurer. Mais le marché a commencé à réévaluer des rendements plus élevés sur les échéances longues, ce que nous remettons en question pour deux raisons. Premièrement, la Fed sera réticente à ce que les rendements montent trop haut par crainte de resserrement des conditions financières. Deuxièmement, le lourd tribut de la dette persistera dans un futur proche. Par conséquent, la Fed est incitée à maintenir les taux confortablement en dessous du taux de croissance du PIB pour aider à alléger ce fardeau.
Les actions cycliques, la dette à haut rendement et les actions à petite capitalisation ont surperformé cette année. Prévoyant que la reprise économique aura lieu dans les prochains mois, nous privilégions les actifs qui y sont exposés tout en restant prudents sur ceux liés à l'inflation.
Au cours du T4 2020, nous avons opté pour une exposition plus cyclique et maintenons nos options en surpondérant les financières.
Cependant, l'incertitude économique restant importante, nous préférons adopter une approche sélective sur les actions value.
Les chocs pétroliers et d'offres devraient pousser l'inflation à la hausse, puis s'estomper. Source: HSBC Private banking, Bloomberg, 18 Janvier 2021.
Sans surprise, les taux de rendement de l'actif général communiqués ces derniers jours sont en baisse, mais une baisse plus modérée que prévue. Elle devrait être en moyenne de l'ordre de 0,27 per cent . Cela s'explique principalement:
- Par la gestion active de la poche « actions » des actifs généraux en partie couverte par les gérants et
- Par la bonne tenue des investissements obligataires qui aura permis en 2020 de dégager des plus-values latentes.
Sans un changement majeur des politiques monétaires et une remontée des taux des obligations, la baisse de rendement devrait continuer en 2021.
La particularité de cette année est l'introduction, par la plupart des compagnies, d'une clause de bonification pour les contrats ayant une part d'actifs investis en unités de comptes de l'ordre de 30 à 40 per cent. Ainsi, avec cette bonification, certains contrats voient la rémunération de l'actif général maintenue à son niveau de l'année dernière. Cette politique de bonification est d'ailleurs renforcée pour l'année 2021, ce qui montre la volonté des compagnies d'encourager les épargnants à diversifier leurs placements au sein de leur contrat.
Les taux de rendement, après application des frais de gestion et des prélèvements sociaux en vigueur pour les contrats souscrits par des particuliers, se rapprochent désormais de 1 per cent net ; cette barre des 1 per cent étant cassée pour les contrats les moins rémunérateurs. Il va donc devenir de plus en plus en difficile pour les fonds en euros – dans le contexte actuel de taux bas – de délivrer un rendement permettant de couvrir tout ou partie de l'inflation ou du moins de dégager un rendement réel satisfaisant pour le souscripteur.
Les alternatives aux fonds euro se développent donc, mais elles nécessitent une prise de risque car elles ne garantissent plus le capital à tout moment :
- Ces alternatives peuvent être proposées par les compagnies avec le lancement des fonds « euro croissance » qui combinent la gestion de l'actif général et celle des unités de compte tout en offrant une garantie en capital à terme (8 ou 12 ans par exemple) avec une espérance de rendement supérieure de 1 à 2 per cent à celle de l'actif général ;
- D'autres compagnies s'apprêtent à lancer des actifs généraux de nouvelle génération avec une garantie en capital de 95 à 98 per cent ; ces actifs généraux moins générateurs de fonds propres pour elles devraient permettre de dégager une performance supérieure à celle d'un fonds euro classique ;
- Enfin, certaines compagnies ont décidé que l'investissement partiel ou total de la participation aux bénéfices de l'année 2021 ne se ferait plus sur le fonds euro mais sur une unité de compte choisie par le souscripteur. Cette option limitant partiellement l'effet dilutif lié à des investissements obligataires dans un contexte de taux bas.
D'autres solutions d'investissement sont proposées par les acteurs de la gestion privée afin de diversifier les actifs, notamment en offrant une palette plus large d'options de gestion :
- Cette diversification des actifs peut se réaliser au travers de la gestion conseillée ou de la gestion sous mandat disponible au sein des contrats. Voire, pour certains d'entre eux, la combinaison des deux permettant ainsi au souscripteur de placer une partie de ses avoirs en mandat et de « garder la main » sur une autre partie avec la gestion conseillée et l'accès à un conseiller dédié ;
- Une évolution des contrats les plus anciens est possible sans perte de l'antériorité fiscale avec la loi PACTE qui permet de transformer un « ancien contrat » en un contrat mieux adapté à la gestion de patrimoine avec notamment l'ouverture aux solutions de gestion citées ci-dessus et l'accès à une large gamme de fonds et de produits structurés. Cette transformation ne peut se faire qu'après une analyse appropriée avec votre conseiller des conditions du contrat en vigueur, des attendues du nouveau contrat et du profil de risque de l'épargnant.
Avec des avoirs de 1 850 Md€ investis, le marché de l'assurance-vie reste incontournable et ceci même si l'année 2020 aura été marquée par une décollecte historique d'environ 7 Md€.
Les compagnies et les acteurs de la gestion de patrimoine doivent aujourd'hui relever plusieurs défis : s'adapter à un contexte de taux bas, alléger le coût en capital de l'actif général et trouver des solutions innovantes pour diversifier les investissements au sein des contrats. Fort de notre expérience et de notre large gamme de solutions de gestion, nous accompagnons nos clients dans ce nouvel environnement.
Webinaire Future Luxe*
Tendances et perspectives pour le secteur du luxe
Jeudi 11 février 2021 - De 16h30-17h30
«Future Luxe»
Tendances et perspectives pour le secteur du luxe Le replay du webinaire «Future Luxe» animé par Erwan Rambourg est disponible sur demande auprès de votre banquier privé.
Dans son ouvrage « Future Luxe, What’s Ahead for the Business of Luxury », Erwan Rambourg identifie
les principales forces et les tendances émergentes qui devraient remodeler le secteur du luxe au cours de la prochaine décennie.
Il est important de noter à quel point le sentiment des marchés financiers et le centre d'attention des investisseurs peuvent changer rapidement.
Pour la majeure partie de 2020, le focus était mis sur la pandémie de Covid-19 et sur les perspectives économiques, avec un pessimisme qui s'est fortement estompé lors de l'annonce de l'efficacité des vaccins.
Nous nous trouvons aujourd'hui dans la situation inverse : les marchés craignent que le boost économique, conforté par le stimulus fiscal américain, fasse monter les taux d'inflation.
Cette hausse des taux d'inflation puis des taux d'intérêt pourraient conduire à un mouvement de vente massif sur les obligations à taux fixe.
Les élections américaines ont aussi fourni une preuve de ce changement narratif propre aux marchés financiers. Les investisseurs se sont tout d'abord réjouis d'un Sénat qui resterait républicain, puis ont craint une victoire totale des démocrates, pour finir par être rassurés avec la fameuse « Blue Wave » et des démocrates qui contrôlent les deux Chambres.
Après l'élection en Géorgie, qui a offert le contrôle du Sénat aux démocrates, des sources d'inquiétudes sont apparues concernant un niveau de dépenses gouvernementales trop important qui ferait monter l'inflation, les taux d'intérêt et la courbe des taux.
Pour beaucoup de raisons, nous doutons du bien-fondé de ces inquiétudes et pensons qu'elles ne devraient pas perdurer. Les taux d'intérêt devraient rapidement baisser aux États-Unis.
Premièrement, rappelons que la majorité démocrate est minime et qu'il sera donc difficile de faire adopter de trop grandes relances budgétaires. Cela devrait aussi limiter les hausses d'impôts ou du moins les repousser en fin de mandat de Jo Biden. Deuxièmement, les États-Unis n'ont aucun problème pour placer leurs obligations d'État même à des taux très faibles. Enfin, les dépenses du gouvernement viennent compenser une baisse des revenus des ménages et des entreprises et ne devraient donc pas provoquer une surchauffe de l'économie et une hausse de l'inflation.
Il y a bien sûr quelques hausses de prix, en particulier sur les matières premières et sur les coûts d'approvisionnement, mais ces facteurs ne suffisent pas. Les salaires restent bas puisque les entreprises tentent de réduire leurs charges et la compétition internationale dans le domaine des services s'est accrue avec la généralisation du travail à distance. Ainsi, les principaux indices des prix restent stables et bas et il n'y a aucunement besoin d'augmenter les taux.
Actuellement, la Fed ne s'inquiète probablement pas du récent mouvement sur les marchés obligataires et les conditions de financement ne se sont pas resserrées. D'ailleurs nous pensons que la Fed agira avec force contre tout resserrement prématuré tant que la reprise économique ne se sera pas durablement installée.
La conjoncture est positive pour les marchés actions.
Les récentes craintes de hausse de l'inflation n'ont pas eu de réel impact sur les marchés actions. Pour les analystes, l'éventuelle conséquence négative est largement compensée par l'impact positif de la relance fiscale et budgétaire.
Ce que nous avons pu observer est la poursuite de la rotation sectorielle des valeurs de croissance vers les valeurs cycliques. Nous renouvelons notre analyse sur ce mouvement : le secteur technologique ne devrait pas être touché par des taux plus élevés (nous nous attendons même à ce qu'ils baissent), mais nous conseillons d'élargir l'exposition « Actions » d'un portefeuille à d'autres secteurs. Nous réaffirmons également que « bon marché peut coûter cher », c'est-à-dire que certaines valeurs qui paraissent très peu chères pourraient s'avérer être des pièges pour les investisseurs et qu'il faut continuer à être très sélectif dans ses choix d'investissement.
Cet environnement de taux bas, de reprise économique et d'appétit au risque devrait être très positif pour les marchés émergents, en particulier l'Asie.
Nous pensons que les investisseurs internationaux vont continuer d'allouer une part de plus en plus importante à l'Asie dans leur portefeuille, que ce soit en actions ou en obligations. La recherche de rendements devrait profiter au secteur obligataire des pays émergents ainsi qu'à leurs devises.
Pour conclure, nous maintenons donc notre légère surpondération en actions, en privilégiant les valeurs de croissance et de qualité. Conscients des risques à court terme, nous nous appuyons sur une bonne diversification et une sélection attentive pour en atténuer les effets au maximum.
Avec une performance de 19,8 per cent, les actions asiatiques ont surperformé les actions internationales (+14,3 per cent) en 2020*.
Du point de vue des valorisations, l'Asie est toujours moins chère que le reste du monde et malgré des fondamentaux et des perspectives de croissance plus solides, elle se négocie toujours à un rabais de 25 per cent par rapport aux États-Unis et de 20 per cent* par rapport au reste du monde.
L'indice MSCI AC Asia ex Japan Small Cap a progressé de 196 per cent* au cours du dernier grand cycle de reprise économique (2008-10) (graphique ci-contre) et a surperformé d'environ 20 per cent* les grandes capitalisations asiatiques durant cette période.
En quoi la gestion de HGIF Asia ex Japan Equity Smaller Cies se distingue-t-elle ?
Pour qualifier son style d'investissement, la gérante use du concept de « croissance à un prix raisonnable (GARP) ». Celle-ci privilégie des entreprises parvenant à accroître durablement leurs bénéfices et qui présentent une valorisation justifiable au regard de la croissance qu'elles dégagent. Son style met davantage l'accent sur la croissance (des bénéfices) que sur l'aspect « value » ; toutefois, l'essence de l'esprit GARP demeure globalement bien présente.
Elle procède en premier lieu à une analyse de son univers d'investissement. Celle-ci consiste à donner la priorité aux entreprises appartenant aux 25 per cent de capitalisations les plus faibles de l'univers des actions d'Asie hors Japon (en combinant les indices MSCI AC Asia ex Japan et MSCI AC Asia ex Japan Small Cap et en ne gardant que les entreprises dont le chiffre d'affaires dépasse 1 million USD).
Ensuite a lieu la sélection des titres, fondée sur une estimation du niveau actuel de rentabilité des entreprises afin de définir si celui-ci est durable à moyen terme.
Si la gérante a besoin d'ajuster son style d'investissement pour augmenter sa flexibilité, elle a la possibilité d'étendre ses recherches aux actions semblant présenter une surcote par rapport à l'univers d'investissement mais qui se négocient en réalité à un prix raisonnable par rapport aux concurrents du même secteur et affichent une croissance bénéficiaire durable (notamment dans le e-commerce et les soins de santé). Cette approche fait en sorte de ne pas ignorer les titres offrant une croissance de qualité assortie d'un potentiel de réévaluation à la hausse.
Enfin, l'ESG est intégré à notre processus d'investissement. Dans la gestion de petites capitalisations, l'aspect de la gouvernance est essentiel à nos yeux et représente la première étape de notre sélection, car les antécédents et la qualité des dirigeants revêtent une importance primordiale. Les considérations environnementales et sociales sont étudiées au même titre que la gouvernance, à la fois sur la base d'analyses de tiers et de notre propre évaluation, issue de nos interactions avec les dirigeants, la stratégie de l'entreprise et notre propre enquête de due diligence. En effet, les ressources ESG d'organisme tiers, comme les notations MSCI, ne couvrent pas efficacement les petites capitalisations asiatiques, d'où l'importance d'une analyse en interne et de notre engagement dans ce domaine (avec l'aide de notre analyste dédié au dialogue ESG).
Variations de l’indice MSCI Asia ex Japan Small Cap entre le 31 décembre 2007 et le 31 décembre 2020
Source : Bloomberg – 31 décembre 2020 - Les performances présentées ont trait aux années passées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
De plus, nous cherchons à identifier les entreprises tirant leur épingle du jeu dans des secteurs appelés à connaître une croissance bénéficiaire structurelle dans le contexte de l'ESG. Il peut s'agir par exemple d'investissements dans les vélos/voitures électriques, ou dans l'énergie solaire.
Note : Vue d'ensemble sur le processus général d'investissement, qui peut différer en fonction du produit, du mandat du client ou des conditions de marché.
À qui HSBC GIF Asia ex Japan Equity Smaller Cies est-il destiné ?
Ce fonds est destiné aux investisseurs qui disposent d'un horizon de placement de moyen / long terme, et qui souhaitent bénéficier de la croissance économique en Asie, hors Japon, en investissant sur le marché des petites entreprises.
Pour les investisseurs qui recherchent un revenu, les dividendes élevés des actions asiatiques offrent également un rendement à moyen terme ajusté du risque attractif étant donné l'environnement de taux plus bas à long terme.
Quelles sont les raisons qui, selon vous, expliquent le succès dont bénéficie actuellement le fonds HSBC GIF Asia ex Japan Equity Smaller Cies ?
Depuis peu, nous avons constaté un intérêt accru pour ce fonds de la part des investisseurs qui, depuis, ne s'est pas démenti.
Selon nous, cette dynamique devrait se poursuivre pour plusieurs raisons : la phase actuelle du cycle de reprise économique, la désaffection à l'égard des valeurs défensives de qualité, privilégiées en 2020, en faveur des valeurs cycliques et, enfin, la très nette surperformance du fonds par rapport à son indice de référence et aux fonds concurrents.
En effet, en premier lieu, nous observons que les petites capitalisations ont tendance à nettement surperformer lors des phases de reprise économique.
Ensuite, nous pensons que les bénéfices des petites capitalisations devraient encore être révisés à la hausse : après avoir atteint un plus bas en 2020, les bénéfices des petites capitalisations asiatiques devraient à nouveau être révisés à la hausse et leur permettre de surperformer.
Plusieurs entreprises de notre portefeuille dédié aux petites capitalisations ont annoncé des bénéfices supérieurs aux anticipations au 4e trimestre 2020 (plus tôt qu'à l'accoutumée), ce qui corrobore la tendance favorable de leurs bénéfices.
2020 | 2019 | 2018 | 2017 | 2016 | 3 a ann. |
5 a ann | |
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Fonds | 31,90 | 3,57 | -24,28 | 37,31 | 10,33 | 1,13 | 9,40 |
Indices | 26,20 | 7,23 | -18,87 | 33,52 | -2,28 | 3,16 | 7,45 |
Fonds | |
2020 | 31,90 |
2019 | 3,57 |
2018 | -24,28 |
2017 | 37,31 |
2016 | 10,33 |
3 a ann. |
1,13 |
5 a ann | 9,40 |
Indices | |
2020 | 26,20 |
2019 | 7,23 |
2018 | -18,87 |
2017 | 33,52 |
2016 | -2,28 |
3 a ann. |
3,16 |
5 a ann | 7,45 |
L'histoire va-t-elle se répéter ? Comment le fonds s'est-il comporté en 2020 ?
Les petites capitalisations asiatiques ont gagné 67 per cent* en 2020 et devraient surperformer de 1 per cent les grandes capitalisations pour la première fois en cinq ans. Toutefois, comme nous n'en sommes qu'au début du cycle de reprise de l'économie mondiale, il ne serait pas surprenant que cette tendance s'amplifie en 2021.
Le fonds HGIF ASIA EX JAPAN EQUITY SMALLER COMPANIES (AC) a enregistré une année 2020 exceptionnelle : le fonds a gagné 31,90 per cent** en 2020 et a surperformé son indice de référence de 5,70 per cent**. Cette tendance positive semble se poursuivre, puisque le fonds surperforme son indice d'environ +1,8 per cent depuis le début de l'année.
* Source Bloomberg – 31 décembre 2020. ** Source HSBC Global Asset Management – 31 décembre 2020
* PRI : Les Principes pour l’investissement responsable ont été établis par un groupe international d’investisseurs institutionnels en raison de l’importance croissante des questions environnementales, sociales et de gouvernance d’entreprise pour les pratiques d’investissement. Ce processus a été conduit par le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies. L’adhésion à ces principes a été ouverte en 2006.
Orientation de gestion
Vise à assurer une croissance du capital de vos investissements au fil du temps sur une période de placement minimum recommandée de 5 ans. Le Fonds investira normalement au moins 90 % de ses actifs dans des actions de sociétés de toute taille ayant leur siège ou exerçant la majeure partie de leurs activités en Asie (à l’exception du Japon). Le Fonds investira dans des marchés développés et émergents.
Points clés
- Un fonds géré selon une approche « profitabilité et valorisation »
- Vise à capter les opportunités de croissance sur les marchés actions asiatiques, hors Japon, tout en appliquant une gestion rigoureuse du risque
- Intégration des critères ESG dans le processus de sélection de valeurs
- Asie, seule région au monde dont la croissance des PIB est actuellement positive
- Une équipe d’investissement qui tire son savoir-faire et son expérience de sa présence sur les marchés locaux
Caractéristiques
Code ISIN (A) : LU0164939612
Devise part : USD
Forme juridique : compartiment de la SICAV luxembourgeoise HSBC
Global Investment Funds
Durée minimale de placement recommandé : 5 ans
Indice de référence (pour info) : MSCI AC Asia ex Japan Net.
Société de gestion par délégation : HSBC Global Asset
Management (Hong Kong) Limited
Frais courants (part A) : 1,85 per cent. Les frais courants se fondent sur les frais de l'exercice précédent, clos en mars 2020, et peuvent varier d'un exercice à l'autre.
Profil de risque
L'indicateur de risque et de rendement est fondé sur des données passées et peut ne pas constituer une indication fiable du profil de risque futur du Fonds. Il n'y a aucune garantie que la catégorie de risque et de rendement indiquée demeure identique et elle peut évoluer au fil du temps. La catégorie la plus basse n'indique pas que l'investissement est exempt de tout risque.
Le FCP est classé dans la catégorie 6.
Ce Fonds est classé dans la catégorie 6 parce que son prix ou les données simulées ont montré des variations élevées par le passé. Pour plus d'information sur les frais et les risques, veuillez vous reporter aux DICI et prospectus de cet OPCVM, disponibles sur
http://www.assetmanagement.hsbc.com/fr
Source : HSBC Global Asset Management – Décembre 2020 Les commentaires et analyses reflètent l’opinion de HSBC Global Asset Management sur les marchés et leur évolution, en fonction des informations connues à ce jour. Ils ne sauraient constituer un engagement de HSBC Global Asset Management. Par conséquent, HSBC Global Asset Management ne saurait être tenue responsable d’une décision d’investissement ou de désinvestissement prise sur la base de ce document et/ou analyse dans ce document. Les anticipations, projections ou objectifs mentionnés dans ce document sont présentés à titre indicatif et ne sont en aucun cas garantis. HSBC Global Asset Management ne saurait être tenue responsable s’ils n’étaient pas réalisés ou atteints. Les caractéristiques et mesures sont fournies à titre indicatif uniquement et sont susceptibles d’être modifiées pour tenir compte des changements de marché.